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Gabin Forcier, à la rencontre des jeunes espérantistes : épisode 5 / Gabin Forcier: meeting young Esperantists, episode 5.

05 mai 2022 Actualités Alumni
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Le voyage se poursuit et pendant ce mois d’avril, je retourne dans des pays déjà visités : l’Italie et l’Allemagne, mais pour participer à des événements espérantistes cette fois ! 

En Italie, dans les Dolomites, je participe à IJF (Interncia Junulara Festivalo) qui est une rencontre organisée par l’association des jeunes espérantistes italiens. Je participe à ma première rencontre avec autant de personnes (environ 80). Je rencontre ici quelques personnes que j’ai déjà croisées sur la route (à Rotterdam, en Suisse et en France) mais surtout beaucoup de nouvelles personnes. Cette rencontre me permet de découvrir de nouveaux aspects de la culture espérantophone avec de nombreuses musiques, représentations et une grande appétence pour le débat ou la politique de manière générale. En effet, je participe à un séminaire de plusieurs jours sur la démocratie et les moyens de l’améliorer dans nos pays. 

Je prends ensuite la route de l’Allemagne avec dans un premier temps la direction de Berlin où je rencontre des jeunes espérantistes dans une ancienne gare en train d’être reconvertie en lieu culturel et d’habitation. Je prends ensuite la route vers Herzberg Am Harz, une petite ville dans le centre de l’Allemagne qui a décidé depuis plus de 15 de soutenir l’espéranto à travers une proposition de cours dans les écoles de la ville, des panneaux d’information dans la ville, et la création d’un centre culturel d’espéranto. Une preuve supplémentaire que l’espéranto n’est pas mort, mais bel et bien en construction.

 

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The journey continues and during this month of April, I return to countries already visited: Italy and Germany, but to participate in Esperanto events this time!

In Italy, in the Dolomites, I take part in the IJF (Interncia Junulara Festivalo) which is a meeting organized by the association of young Italian Esperantists. I participate in my first meeting with so many people (about 80). I met here some people I had already met on the road (in Rotterdam, in Switzerland and in France) but above all many new people. This meeting allows me to discover new aspects of Esperanto culture with a lot of music, performances and a great interest for debate or politics in general. Indeed, I take part in a seminar lasting several days on democracy and how to improve it in our countries.

I then set off for Germany, first to Berlin, where I met young Esperantists in an old railway station that is being converted into a cultural and living space. I then head for Herzberg Am Harz, a small town in the centre of Germany which has decided for more than 15 years to support Esperanto by offering courses in the town's schools, by putting up information boards in the town and by creating an Esperanto cultural centre. This is further proof that Esperanto is not dead, but still under construction.

 

 




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